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Lyrics
Nov 9, 2009 6:28:30 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 9, 2009 6:28:30 GMT -5
Ego-head
rappele-toi l'ecarlate rappele-toi de ton voeu de jamais defaire le noeud ligote a deux
rappele-toi et ta memoire te blessera comme la mienne me blesse a chaque fois que je pense a toi
j'ai noye ta couleur dans une riviere blueu le ruban de tes cheveux je l'ai cousu sur mes yeux ta joie si chaleureuse fond sur un feu fait de tes rires et mes soupirs langoureux
et je pleure des larmes pour eteindre les flammes ecarlates qui me rappelent toi
je suis la fais ce que tu veux joue-moi
appele-moi toi l'ecarlate appele-moi juste une fois fait-moi savoir que tu ne m'abandonnes pas appele-moi et le chant de ta voix soulagera ma plaine sculptee en ta presence absente
j'embaume mes chimeres dans la toile des sirenes mes chauchemars dansent en chaines sur les rives de mes veines
mes promesses exhumees empestent mes pensees accablees deformees par tes mots si jolis tes fausses garanties
bitch
ton essence liquide se gaspille insipide mon etre te rejette mon ego you are dead
dead ego
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Lyrics
Nov 9, 2009 6:29:34 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 9, 2009 6:29:34 GMT -5
Strip
viens blesser mon coeur et saigner ma douleur jusqu'a ce que sa couleur devienne bleue comme mes yeux rouges de mes pleurs
viens tuer ma langueur et liberer la froideur qui givre la sueur jadis chaude de mes nuits sans toi
je te hais tu me plais encore tant malgre le temps qui passe si lentement sans toi mon amant
je te hais je t'amais sans savoir que te savais qu'un jour tu me quitterais sans regrets et comme edith je ne regrette rien pas meme les limites des quatre coins du monde ou je cherche sans cesse ma passion
un jour tu verras sal metuer qui decois que ma vie sans toi m'enivre de joie car enfin j'ai lu le depit de tes bras et j'ai appris a aimer quelqu'un d'autre moi
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Lyrics
Nov 9, 2009 6:30:29 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 9, 2009 6:30:29 GMT -5
K-casino
tu volais que je sois silencieuse comme toi et ta vie ou tout est cache.
je me sens tellemant bizarre - c'est comme si toutes mes emotions pourtant si positives et reelles se soient reposees sur un sujet imaginaire, une fondation inexistante, les rendant impuissantes et sans consequence.
je suis vide, ma gaiete s'est envlolee, je suis depourvue d'optimisme et accablee d'indifference. ce detachement me fait souffrir.
je ne voulais pas te parler, ni t'ecrire, plus jamais te voir tant le choc d'avoir appris a tel point j' importais si peu pour toi m' a mis dans cet etat comateux.
peut-etre ne liras-tu pas cette lettre, sans doute sans importance dans ta vie si close - peu importe.
a cette houre, j' ai besoin de t' adresser meme si tu ne m' ecoutes pas
je dois cicatriser ma plaie.
c'est triste: j' essaie a nouveau de ne penser qu' a moi, d' etre a mes soins de me cajoler, de m' aimer - c'est dur a ressentit, j' en ai perdu l' habitude ces derniers temps
m'as-tu dupe ou suis-je credule, aveuglee par des mots que je croyais sinceres, emballee par des paroles prononcees sur un pont parisien.
je regarde placidement au rebord de la cheminee de mon salon, la polaroid d' un homme et d' une femme vetus de vert, cigarette et boisson alcoolique en main, assis sur un banc d' une boit de nout pourrie. l' homme, les yeux baisses vers le lointain, a un air d' indecision decise, le femme, les yeux souleves vers l' objectif, jette un regard interrogatiore
le matin de la niut quand la photo en question a ete prise, ayant ressente chauement la froideur que tu projettais envers moi, je t' avais questionne a ce sujet. tu m' as plus ou moins fait comprendre que ca aille plus loin. je me souviens, sur le coup, je repensais a toutes les belles choses que tu m' avais dites durant le mois precedent et j' ai ressneti tes nouvelles paroles comme un violent coup de poing dans la gueule.
blessee mais tout de meme capable de me soulever, j' ai pris ma tete en main et la decision de m' en aller. quelques heures plus tard, nous couchions ensemble, la polaroid posse sur la table de chevet de ton lit, saouls et sans tendresse. j' ai pleure et tu n' as pas voulu que je verse des larmes confuses.
j' si pris le train et arrivee a ma destination, tu m' as appele au telephone pour me demander de partir en voyage avec toi.
nothing touches you
j' ai pris la question symboliquement et referant a norte relation, t' ai demande si tu allais de nouveau changer d' avis, tu m' as dit: "non"
you'll never walk with me
ta response m' a fait plus que plaisir et rechargee, accompagnee de foi, je t'ai retrouve une semaine plus tard. de la sommes-nous partis en voyage.
bliss
de nouveau je suis glacee
tu m'as annonce que ta froideur venait du fait que je t'ai blesse a mad, mad madurai. ton hiver s'etait deja presente des mon arrive et c'est a cause de cette saison si precipitee, si inattendue dans mon pays ensoleille que j'ai ete dure avec toi.
here it is baby
victime de mes emotions avec lesquelles il me semblait que tu avais jongle, eprise d'une veritable deception a mes yeux, attaquee par la confusion de tes mots si contradictoires, si inconsistantes.
on jour, on marchait main dans la main vers l'insitut du monde arabe. on s'etait arrete poure regarder la seine mais tu as regarde dans mes yeux et tu m'as dit que tu voulais partager des choses avec moi.
why are you so paranoid
pour partager, il faut d'abord vouloir s'ouvrir, se montrer a la personne: avec qui on vodrait partager. je ne parle pas d'un devoilement
how boring
et de toute maniere impossible
thank god
por partager il faut vouloir comminiquer, parler, toucher, montrer, recevoir et non pas que de banalaties et d'observations objectives, mais rapporter de soi, ses bonheurs, malheurs, souffrances, rejouissances, ennuis, anxietes, de l'ennui qui nous pese si lourdement parfois, bref des choses qui nous font vivre, rire, pleurer.
malgre tout, je crois toujours en cela.
j'ai mal
j'ai mal parceque je me suis ouverte a toi, la seule personne qui m'as donne l'envie d'aimer a nouveau
the moral of the story is never leave the house
j'avais l'impression que nos sentiments l'un pur l'autre s'accroitraient avec le temps, s'approfondiraient et se mettraient en valeur grace au respect que je croyais que nous partagions l'un pour l'autre.
respect
tu as manque de respect envers toi et envers moi. le soir quand nous sommes revenus de notre voyage, assoiffes de vin et rapidement rassassies, tu m'as traite avec une insensibilite perverse en me renvoyant chez toi pourque tu puisses passer un coup de fil en douce et ensuite indulger dans ta vie comme si d'un coup j'etais devenue invisible, que je n'existais plus.
je ne comprends pas tu as trop de secrets ca devient malhonnette
tu m'as menti tu n'as rien voulu partager avec moi
rien
la ou je me suis ouverte, tu t'es renferme
pourquoi m'as-tu tant fait tourner en rond quand tu savais que tu ne voulais pas que je goutte a ta vie?
pourquoi t'ais-je suive, esperant que tu gouttes a la mienne?
pourquoi ces mansonges, ce manque de verite, ce va et vient, ce jeu avec l'etre humain?
si tu m'avais au moins respecte, tu aurais ete honnete et j 'aurais pris paris puor un joli reve
une folie
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Lyrics
Nov 11, 2009 21:09:02 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 11, 2009 21:09:02 GMT -5
Wedge
the day went by like all the other days stale heavy moistened with greif same old story relived with every wet pearl as it rolled down a cheek from her lids and then slid on he lips
and a murmur perhaps a mumble but not enough breath nor twitch of the tongue to achieve speech just a muttering stifled by the silence of a stunned mind
how long had it been? thoughts burst forth screeching to a halt everything stopped wasn't that how it all started?
the big bad blow
the axe that splits wedged into its stump he's in love with... I won't recognize it because it is not my name
the goodbye is civil sharing of goods neatly packed, parceled and boxed by yet still hopeful hands there are no tears, no sorrys, no see you arounds
straining resistance to track downwards and take in the entire dissolving figure once revered naked too many times
the vanishing
all but her flesh and bones dissappeared into thich murky air save a small section of her brain, the appropriate section which pumps limbs with commands such as
turn light on / turn light off get out of bed go shopping, buy food, do not drink when not in merry mood, try to sleep do not attempt to think
there is no logic in love, only in the lack of it
the following day after months of rain, the stars turned green again
to some children throwing sticks and stones, she said "don't do that to my dog he is young and knows nothing of the world his heart is kind and untainted he cannot bite..............but I can"
the kids ran away laughing so did she
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Lyrics
Nov 11, 2009 21:12:31 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 11, 2009 21:12:31 GMT -5
Working for God
c'e un gusto nella mia bocca che mi dispiace
c'e un aria nella mia testa che non si ferma
fa un tempo stomacoso nel mio budello vomitando falo falo falo
esco la piove mi piace servira a limpiare le macchie della mia prodezza
ando mi trovo in un buccho sperduto bevo alzo il bicchiere ala tua salute sorrido non ti conosco ma so che ti succhiaro secco subito
ballo un pc aspettando l'attimo cuando sapro chi sara il suggetto del moi piccolo gioco
cerco la gola a graffiare spio la schiena a d'accarezzare faccio la posta al povera che non scivolera fra le mie mani che finira per dormire ai miei piedi
quello bastera se ha una famiglia non importa perche una cosa e certa
non conoscera mai tale affinita che lo portera la mia prodezza il moi regalo alla sua vita adesso quasi finita
c'e un gusto nella mia bocca che mi paice
c'e un'aria nella mia testa che mi canta
fa un tempo meraviglioso nel mio stomacho dicendo brave bravo bravo
dove l'ho mandato non sara mai cosi solo ed io sazaviata torno a casa a fare sogni d'oro lavorando per dio
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Lyrics
Nov 11, 2009 21:21:34 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 11, 2009 21:21:34 GMT -5
I asked a native speaker (because no auto-translators were doing an acceptable job) and evidently Anna's Italian isn't very good That's to be expected though, I suppose there comes a point where a person displays so many skills and abilities that you almost want to punch them for being so damn awesome... or at least that's how I rationalize the brutal beatings by total strangers on a daily basis...
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Lyrics
Nov 11, 2009 21:23:23 GMT -5
Post by badluckshadow13 on Nov 11, 2009 21:23:23 GMT -5
Scar
I scaled the steeps I hit the hights the view was awful nice the rock I'd roped didn't hold and down my only goal
I crawled the cliff on the edge clambered scared scurrying from scar to crag slipping scratching a grip on the scree scrambling senseless till i could clutch the earth's moist crust and tread on the plain terrain
it rains there there are no more buffalos
in the wilderness of woe I now wander and wonder why the sky tricks my eye with its partner in crime the ground where I wished to found my sunset together they target my weakened sight hurling horizons of helpless hope at my plight heaven and earth bending, blending
merging into impotent lovers shamming a shameless caress I call their bluff they cannot touch the mirage reveals they are foes
I do not belong here
on plain terrain all is plain but the ravaging savagery of sorrow that burns my soul to a hollow from which I must depart and once again ascend the mountain wherefrom I lost my heart
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